Galileo et GPS
Avec le programme Galileo, l’Europe est non seulement en voie d’assurer son indépendance dans ce domaine stratégique, mais se donne les moyens d’étendre les capacités et les potentialités actuellement offertes par le GPS.
D’autres systèmes de navigation par satellite, moins connus du grand public, sont déjà en place. C’est le cas du système russe Glonass ou des systèmes complémentaires au GPS, tels EGNOS en Europe ou le WAAS aux États-Unis.
Les systèmes GPS ou Glonass et bientôt Galileo offrent des services de positionnement disponibles en permanence dans le monde entier pour un nombre illimité d’utilisateurs. Par ailleurs, l’amélioration des techniques industrielles rend possible la production de récepteurs pour un marché de masse.
Pour toutes ces raisons, la navigation par satellite est un marché en pleine croissance,
qu’on peut comparer à celui de la téléphonie mobile ou d’Internet, même s’il reste
aujourd’hui difficile de prédire l’ampleur réelle qu’il prendra dans les années à venir.
JMC
Force est de constater que nous sommes sacrement a la traîne avec Galileo..
A la traine à cause principalement de l’Angleterre et de l’Espagne qui ralentissent les décisions pour le développement de Galileo, sous la demande à peine voilée des Américains qui eux possèdent le GPS.
Je vous rappel que ces deux pays sont des alliers de longue date de l’oncle Tom !!!!